Guilam & Dimey

L'histoire de ces PETITS PLAISIRS

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Ma première rencontre "consciente" avec Bernard Dimey, c'est "J'aimerais tant savoir" (musique de Jehan). En 2008, dans une version chantée par Noah Lagoutte et Frédéric Bobin. Magnifique découverte ! Pour la deuxième rencontre, je suis allé un peu plus loin puisque j'ai mis en musique "l'enfance" à l'occasion du Printemps des Poètes 2012. Une chanson qui m'a suivi sur scène et sur disque (album "Confidences").

Puis un week-end de Mars 2014, dans les Cévennes, il y a eu cette idée folle... Alors que j'étais chez l'ami Bonfils, je me suis plongé dans 2 recueils de poèmes et autres chansons "dimeysques". Une claque. De celles qui font du bien. Qui réveillent !

Je me suis alors mis au piano. Et le soir même, je chantais ma version de "Il ne faudra jamais dire". JP, qui écoutait attentivement, m'a dit à la fin : "ça te va tellement bien de chanter ça ... Tu pourrais pas carrément envisager tout un spectacle ?" C'était parti. 
Dans les semaines qui ont suivi, j'ai composé plus de 20 mélodies sur ces mots. Une obsession. L'envie d'aller au bout.
Des maquettes, des échanges. Comme une évidence qui donne une formidable énergie !

 

Restait le choix de la formule scénique : SOLO ? DUO ? TRIO ? Orchestre Philarmonique ? Pour des raisons diverses et variées je n'ai pu concrétiser la dernière hypothèse, alors je me suis penché sur l'idée du trio... Et 2 noms me sont rapidement venus à l'esprit : BONFILS et GWENN ! C'était parti pour plus d'un an de travail autour des arrangements, autour du spectacle. Avec une première résidence au THÉÂTRE DE PIERRES en Avril 2015 (qui a soutenu ce projet dès le départ grâce à une Barbara WELDENS enthousiaste ! Merci Barbara pour ce beau regard extérieur si intense d'intériorité !) puis une seconde aux ÉCURIES de St Mathieu (chez un certain Lallouche ! Merci François !). 

Puis il y a eu cette magnifique première un soir de Septembre 2015 à Fouzilhon...

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Depuis, ce spectacle a voyagé. Il a même vu l'arrivée d'une nouvelle présence féminine dans ce trio, en la personne de Mélanie ARNAL. Après le souffle aérien d'une flûte (Merci Gwenn !), les vibrations d'un violon.  Ces PETITS PLAISIRS ont une belle histoire. 2 ans et demi de mots, de notes. Avec de magnifiques rencontres. Dans des salles, des théâtres, mais pas que... Parce que ce spectacle peut aussi se jouer chez l'habitant ! 

La suite reste à écrire ...

Avec vous bien entendu.                                                                                                                                 Octobre 2017